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3 août 2007

La drogue , ce venin euphorique

C'est un sujet qui me succite depuis pas mal de temps , à travers roman et film lu et vu récemment , j'ai découvert ce phénomène de près à travers le témoignage de personnes victimes qui ont finis par des overdoses . C'est tragique et ça devient fréquents , on commence par un join , un sniff, un shoot , une piqure , plus rien n'est satisfaisant pour retrouver l'extase .

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Ce sujet nécessiste plusieurs articles pour être étudiés dans tous ses angles , à savoir , scientifique , sociologique , psychologique , et pourquoi pas philosophique .

Pour ce je commencerais par cadrer le phénomème d'un point de vue médical , à savoir une définition de l'effet de drogue sur le corps humain nottament le cerveau , et une présentation des types de drogues les plus répandus .

Définition (WIKIPEDIA)

Une drogue est un composé chimique ou biochimique capable d'altérer une ou plusieurs activités intraneuronales et/ou de perturber les communications interneuronales. L'homme a reconnu le pouvoir des drogues très tôt dans son histoire et a consommé celles-ci depuis lors afin de modifier ses fonctions physiologiques ou psychiques, ses réactions physiologiques et ses états de conscience.

Certaines drogues peuvent engendrer une dépendance physique ou psychologique. L'usage de celles-ci peut avoir pour conséquences des perturbations physiques ou mentales.

Le terme « drogue » recouvre essentiellement deux aspects : la nature des effets biologiques que la drogue induit d'une part, et d'autre part les rapports que celui qui la consomme entretient avec elle. Il faut qu'un composé chimique donné soit consommé pour qu'il puisse répondre à l'appellation de « drogue ». C'est le mode et la fréquence de consommation qui créé l'accoutumance ou la dépendance au produit. On peut donc penser que c'est le consommateur (à travers ses modes de consommation), plus que le produit qui détermine quelle substance sera, pour lui, une drogue.

Types de drogues

Le Cannabis :

cannabis

Issu de la plante Cannabis Sativa, le cannabis contient du tétrahydrocannabinol (ou THC), à l'origine des effets psychoactifs. Selon sa préparation, il se présente sous différentes formes.

A partir des sommités fleuries et des feuilles séchées de la plante, on obtient de la marijuana ou herbe. Quant au haschich, c'est une résine brunâtre, verdâtre secrétée par les sommités fleuries. Cette substance plus ou moins molle se présente sous forme de boulettes ou de barrettes. Le haschisch peut être coupé avec du henné, du cirage, de la paraffine ou d'autres substances plus ou moins toxiques.

Ces deux formes sont les plus répandues en France. Mais, on peut à partir de la résine, tirer de l'huile de cannabis, la forme la plus psychoactive.

En général, on mélange la marijuana ou le haschisch avec du tabac. On le fume après l'avoir roulé en forme de cigarette conique, ou à l'aide d'une pipe ou d'un narguilé. Par conséquent, les effets nocifs du tabac s'additionnent aux effets du cannabis. Autre possibilité : le boire en infusion ou l'intégrer dans des gâteaux (space cake).

L'effet du cannabis inhalé est rapide, moins de 20 min et dure une à deux heures. Parce qu'il est stocké dans les graisses, le cannabis reste longtemps dans l'organisme sous forme de trace, même s'il n'est plus actif. Ainsi, il faut plus d'un mois pour éliminer complètement de l'organisme toute trace de substance après une seule utilisation.

Le consommateur recherche la détente, le bien-être et une meilleure perception des sens que procure le produit. Il apporte un sentiment d'euphorie avec son lot de fous-rire. Ses pouvoirs anxiolytiques et sédatifs sont aussi très appréciés. L'usager se sent "planer", il oublie ses soucis et devient moins sensible aux problèmes.

Reconnaître un fumeur de cannabis régulier 

» Yeux rouges.

» Débit de parole et pensée ralentis.

» Amotivation pour les activités quotidiennes.

» Fatigue.

» Fringales.

Risques physiques

» Palpitations et tachycardie.

» Risque augmenté de cancer du poumon et d'atteinte des voies aéro-digestives supérieures. Le joint de cannabis fait inhaler 6 à 7 fois plus de goudrons et de CO que la cigarette. Et il contient 2 fois plus de benzène et 3 fois plus de toluène, des agents toxiques. Fumer trois joints tous les jours ferait courir les mêmes risques de cancers ou de maladies cardiovasculaires que fumer un paquet de cigarettes par jour.

» Diminution de la sécrétion salivaire.

» Mauvais contrôle des mouvements et/ou trouble de l'équilibre (ivresse cannabique) rendant la conduite automobile ou de machine-outils dangereuse.

» Augmentation du temps de réaction. Ce qui peut s'avérer dangereux dans la conduite automobile.

Risques sur la reproduction

» Risques de grossesses extra-utérines.

» Fausses couches

» Naissance prématurée plus fréquente

» Diminution significative des spermatozoïdes si l'usage est chronique et excessif. Pour autant, le cannabis ne rend ni impuissant, ni stérile.

» Difficultés de concentration et altération de la mémoire immédiate. Dans le cadre d'une consommation régulière et sur le long terme, altération des facultés d'apprentissage et de mémorisation et perte de motivation dans les activités quotidiennes.

» Risque d'intoxication aigüe (sentiment d'angoisse, parfois associé à des sueurs froides ou des vomissements) en cas de consommation à forte dose ou lors d'une importante fragilité psychique.

» Baisse de la vigilance.

» Risque de révéler ou d'aggraver un épisode psychotique chez les personnes prédisposées à la schizophrénie, notamment celles qui ont des antécédents familiaux de la maladie.

A la longue, le fumeur régulier aura tendance à augmenter les doses pour obtenir les mêmes effets. L'overdose mortelle n'existe pas avec le cannabis.

La dépendance au cannabis semble plutôt psychologique, bien que des symptômes légers de sevrage comme des crampes et des insomnies ont été observés. Le risque de dépendance psychologique au cannabis est moindre que pour d'autres drogues mais il existe et concernerait 10 à 15 % des consommateurs réguliers.

----------------->To be continued

Dépendance et tolérance 

Des effets "planants" 

Temps d'action

Mode d'administration 

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